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C’est ainsi qu’il est possible aujourd'hui « d’harmoniser la formation sur tout le territoire » ; ces entraîneurs parlent aujourd'hui avec le même vocabulaire.
Le coureur sur route
A la différence du sprinter ou du coureur demi fond, le coureur sur route essayera de trouver un compromis entre puissance développée et longue durée. On distingue plusieurs niveaux de coureurs : le débutant, le jogger qui est capable de courir 30 minutes sans s’arrêter, le coureur à objectif de compétition, de niveau national, ou les coureurs du Groupe France.
L'entraîneur
L’entraîneur accueil tout type de coureur. Il peut être athlète lui-même, ou bien avoir des connaissances scientifiques. Mais pour entraîner, il lui faudra d’autres qualités comme l’observation, l’écoute et l’analyse pour développer des relations individuelles avec chaque athlète, mais aussi pour comprendre le groupe.
L’entraîneur aide chaque athlète à réaliser ses objectifs ; courir pour le plaisir, retrouver « la forme », réaliser un chrono, finir une course longue distance…
Il doit être rigoureux, cohérent, fidèle à ses engagements et disponible.
Il est à l’écoute d’un groupe et de l’athlète dans le groupe.
L'entraîneur n'est pas un médecin
Malgré ses
connaissances et son expérience, il ne remplace pas le médecin
généraliste qui délivre chaque année un
CERTIFICAT MEDICAL de non contre indication à la pratique de
la course à pied. Le médecin fournit également
un bilan morpho statique du coureur (poids, taille, équilibre
osseux et musculaire, mobilité…)
L'entraînement
Généralement
l’entraîneur effectue un bilan de départ de l’athlète
en l’interrogeant sur son passé sportif, son environnement,
sa disponibilité, la fréquence de ses entraînements
et sa motivation.
Il s’intéressera à sa VMA (vitesse maximale aérobie). Elle correspond à la vitesse de course atteinte lorsque la consommation d’oxygène devient maximale. On peut évaluer cette vitesse grâce à des tests, le plus utilisé étant le test Vameval (test à allure progressive avec des paliers de 1 minute).
L’entraîneur pourra ainsi fixer des objectifs avec l’athlète. Il commencera par élaborer un planning trimestriel ou annuel qui fera apparaître des périodes de développement de la VMA, des périodes de travail à allure de compétition (spécifique), et des périodes de relâchement ou de récupération trop souvent négligées.
Chaque semaine l’athlète suivra un plan qui allie qualité et quantité. Ce plan pourra être modifié en fonction des résultats obtenus, de la disponibilité de l’athlète, et de sa forme du moment. L’échange entre athlète et entraîneur est important.
Chaque séance d’entraînement commence par un footing d’échauffement à allure lente pendant 30 minutes. La séance de préparation musculaire qui suit est encadrée par l’entraîneur. Elle prépare le muscle à l’effort. L’athlète effectue alors son programme sur piste, ou sur terrain varié.
Après un « retour au calme » (footing léger de 10 minutes), le groupe se retrouve pour effectuer quelques exercices de gainage (abdos, dorsaux…) et d’étirements pour gagner en élasticité, pour faciliter la récupération et éviter les blessures.
L’entraîneur reste aussi un conseiller technique (foulées, équipement…). Il a des notions de diététique et fait le relais entre l’athlète et le club.
L’entraînement est une passion.
Pour plus d'informations, prenez contact avec votre club. Pour le SBAC, prenez contact avec Caroline BERNARD via la page contact du site !
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