L'ouvrage richement illustré, qui retrace l’Histoire de la Fédération Française d'Athlétisme.
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2 médailles, 10 finalistes - Mondiaux d'OSAKA
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2 Septembre 2007 - Freddy Sourisseau (webmaster)
Le 
rideau est tombé sur les championnats du monde, dimanche soir, au Nagai Stadium d’Osaka. Pour l’équipe de France, le bilan de ces championnats
du monde laisse un goût nuancé. Avec deux médailles, en argent, pour Yohann Diniz et Romain Mesnil, et dix places de finaliste, elle est restée en deçà des objectifs établis par Franck Chevallier, avant le voyage vers le Japon.
Les incidents de parcours ont été nombreux, le plus retentissant ayant pris la forme d’une disqualification, pour Mehdi Baala, en ½ finale du 1500 m. Le Strasbourgeois semblait posséder tous les atouts pour jouer un grand rôle en finale, peut-être le premier. A l’heure du bilan, son absence de la finale pèse lourd. Plusieurs leaders, présentés peut-être un peu hâtivement comme des chances sérieuses de médaille, ont calé avant la finale. Muriel Hurtis-Houairi, notamment, arrivée à Osaka avec le 2ème temps des engagées. Ladji Doucouré, pourtant en forme ascendante. Eunice Barber, habituée à briller aux championnats du monde.
On retiendra aussi l'énorme déception des relais :
- Une équipe championne du monde en titre de relais 4*100m H qui déclare forfait ! Incroyable !
- Une chute de bâton dans l'ultime passage de relais au 4*400m H !
- Une mauvaise transmission a brisé net l’élan du 4x100 m féminin
- Le 4x400 m féminin, lui, n’avait tout simplement pas les jambes pour aller plus loin (5ème en 3’29’’87).
Mais les bonnes surprises n’ont pas été absentes, en neuf jours de compétition. Citons les cinquièmes places de Bouabdellah Tahri, au sortir d’un été difficile, de Sophie Duarte, pour sa première grande compétition internationale, de Vanessa Boslak, au terme d’une année où les études ont souvent pris le pas sur son entraînement, de Leslie Djhone, arrivé en grande forme au moment le mieux choisi.
Enfin, on retiendra de ces championnats du monde la confirmation du potentiel de quelques jeunes talents, tous issus de l’opération « Destination 2012 ». En tête de ce peloton, Elodie Guégan et Fadil Belaabouss peuvent quitter Osaka avec la certitude que le plus haut niveau est tout juste à leur porte, et nous laisse avec plein de promesses pour les Jeux Olympiques de Pékin.
Alain Mercier, à Osaka pour athle.com
Freddy Sourisseau, à Nantes, pour le SBAC
rideau est tombé sur les championnats du monde, dimanche soir, au Nagai Stadium d’Osaka. Pour l’équipe de France, le bilan de ces championnats
du monde laisse un goût nuancé. Avec deux médailles, en argent, pour Yohann Diniz et Romain Mesnil, et dix places de finaliste, elle est restée en deçà des objectifs établis par Franck Chevallier, avant le voyage vers le Japon.Les incidents de parcours ont été nombreux, le plus retentissant ayant pris la forme d’une disqualification, pour Mehdi Baala, en ½ finale du 1500 m. Le Strasbourgeois semblait posséder tous les atouts pour jouer un grand rôle en finale, peut-être le premier. A l’heure du bilan, son absence de la finale pèse lourd. Plusieurs leaders, présentés peut-être un peu hâtivement comme des chances sérieuses de médaille, ont calé avant la finale. Muriel Hurtis-Houairi, notamment, arrivée à Osaka avec le 2ème temps des engagées. Ladji Doucouré, pourtant en forme ascendante. Eunice Barber, habituée à briller aux championnats du monde.
On retiendra aussi l'énorme déception des relais :
- Une équipe championne du monde en titre de relais 4*100m H qui déclare forfait ! Incroyable !
- Une chute de bâton dans l'ultime passage de relais au 4*400m H !
- Une mauvaise transmission a brisé net l’élan du 4x100 m féminin
- Le 4x400 m féminin, lui, n’avait tout simplement pas les jambes pour aller plus loin (5ème en 3’29’’87).
Mais les bonnes surprises n’ont pas été absentes, en neuf jours de compétition. Citons les cinquièmes places de Bouabdellah Tahri, au sortir d’un été difficile, de Sophie Duarte, pour sa première grande compétition internationale, de Vanessa Boslak, au terme d’une année où les études ont souvent pris le pas sur son entraînement, de Leslie Djhone, arrivé en grande forme au moment le mieux choisi.
Enfin, on retiendra de ces championnats du monde la confirmation du potentiel de quelques jeunes talents, tous issus de l’opération « Destination 2012 ». En tête de ce peloton, Elodie Guégan et Fadil Belaabouss peuvent quitter Osaka avec la certitude que le plus haut niveau est tout juste à leur porte, et nous laisse avec plein de promesses pour les Jeux Olympiques de Pékin.
Alain Mercier, à Osaka pour athle.com
Freddy Sourisseau, à Nantes, pour le SBAC
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